La loi de finances 2025 et le projet de loi sur le droit de grève entraîneront des répercussions directes et certaines sur la manière dont les TPME évoluent et s’adaptent aux évolutions économiques et sociales, indique la CGEM dans un communiqué. Ainsi, le vice-président de la Commission Fiscalité et Douanes, Abdelmejid Faiz, a exposé les principales dispositions de la loi de finances 2025, notamment en ce qui concerne l’impôt sur le revenu, l’impôt sur les sociétés ou encore la réforme de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA). D
e son côté, le président de la Commission Sociale de la CGEM, Hicham Zouanat, a abordé le projet de loi organique sur le droit de grève, rappelant l’historique et les modalités de mise en place, considérant que ce texte vient instaurer un cadre équilibré renforçant les droits et libertés de toutes les parties prenantes.
Animée par la présidente de la Commission Entrepreneuriat et TPME de la CGEM, Meriem Zairi et le vice-président de la Fédération de Commerce et Services de la CGEM, Yassine Karim, cette rencontre a réuni entrepreneurs et dirigeants de TPME et a permis aux participants d’interagir longuement avec les experts présents et bénéficier d’éclaircissements et de réponses opérationnelles à leurs questionnements, pour mieux appréhender les différentes implications de la loi de finances 2025 et du projet de loi sur le droit de grève. Ces rencontres régulières ont pour objectif de faciliter les échanges et d’offrir un espace de partage d’expériences en faveur du renforcement de la compétitivité des TPE/PME à travers des thématiques stratégiques et des solutions pratiques adaptées à leurs besoins spécifiques.
