Il est également mis en cause par le parquet pour « diffusion d’informations émises dans un cadre privé ou confidentiel, sans le consentement de leurs auteurs ». Il risque pour cette dernière accusation de « six mois à trois ans et une amende de 2 000 à 20 000 dirhams », précise l’article 447-1 du Code pénal.

Placé, mardi, en garde à vue, mesure par la suite prolongée,  Y. El Hirech est toujours embastillé en attendant la première audience du procès fixée pour le 4 avril au tribunal de première instance de Kénitra.

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