Des familles d’Amezmiz, sinistrées du séisme du 8 septembre, ont tenu une marche à destination de la préfecture de Marrakech pour protester contre la sourde oreille à l’encontre de leurs revendications. Les griefs retenus à l’encontre des responsables est l’exclusion de nombre de victimes de l’aide financière promise et le peu de cas accordé au grand chapitre du relogement des sans-abris.
Ce qui a cours à Amezmiz a cours aussi à Taroudant où nombre de victimes ont marché vers le siège de la province pour crier leur désarroi.
Les uns et les autres veulent du concret et non plus les promesses dont les responsables les bercent depuis des mois.