Il y a lieu de noter que le Parti de la justice et du développement (PJD) a déclaré avoir reçu « avec grande satisfaction les mandats d’arrêt émis par la Cour pénale internationale » contre « les criminels de guerre Benjamin Netanyahu, Premier ministre de l’entité sioniste, et Yoav Gallant, son ministre de la Défense ». Le parti a qualifié cette décision d’« historique et sans précédent », ajoutant que « le triomphe de la justice pénale internationale malgré toutes les pressions apparentes et cachées auxquelles la cour a été confrontée, et l’émission d’un mandat d’arrêt contre les plus hauts responsables de l’entité sioniste, les plaçant dans le registre des criminels de guerre, confirme son caractère d’entité occupante, usurpatrice et barbare, et que le peuple palestinien est soumis à un génocide alors qu’il résiste pour libérer sa terre du colonialisme sioniste ».
Le PJD a considéré cette décision comme une « condamnation juridique et morale historique sans précédent contre l’entité sioniste », et en même temps, une condamnation de tous les pays occidentaux qui « ont planté cette entité au cœur de la nation arabe et islamique ».
Selon le parti, cette décision représente une « opportunité historique » pour le Maroc et tous les pays arabes et islamiques « de corriger ce qui doit être corrigé », et de rompre « toutes relations avec cette entité usurpatrice et ses responsables criminels de guerre ».
Le Parti du progrès et du socialisme (PPS) a suivi la même trajectoire en déclarant qu’il a reçu la décision « avec grande satisfaction et espoir pour la réalisation de la justice ». Il a appelé « tous les pays, organismes et consciences vivantes à travers le monde à exprimer un soutien fort et écrasant à cette décision émise par la Cour pénale internationale ».
Le PPS a exhorté dans son communiqué la « mise en œuvre effective de cette décision, sans hésitation ni contournement, et à fournir une protection au peuple palestinien de toute urgence, pour arrêter les massacres odieux et les crimes atroces que l’entité sioniste continue de commettre contre le peuple palestinien sans défense ».
Le parti a exigé la suspension de l’adhésion d’Israël aux Nations Unies, et l’imposition de sanctions sévères contre elle, l’arrêt du soutien militaire, médiatique et financier, la déclaration d’un boycott commercial et économique, et l’arrêt « de toutes formes de normalisation, de relations et de coopération avec cette entité dirigée par des criminels de guerre, jusqu’à ce que le génocide en Palestine et l’agression contre le Liban cessent, et que tous les droits nationaux légitimes du peuple palestinien et le respect de la souveraineté nationale libanaise soient accordés ».