« L’ambassade et le consulat d’Espagne interviennent systématiquement pour assister les citoyens espagnols lorsqu’ils sont informés de situations les concernant », a répondu par écrit le gouvernement, évitant ainsi de rentrer dans les détails. Le parlementaire cherchait notamment à savoir si « le gouvernement avait pris contact avec les journalistes et militants concernés pour garantir leur sécurité et documenter d’éventuels abus lors des expulsions ».

L’exécutif espagnol n’a pas encore répondu aux questions écrites posées fin janvier sur le même sujet par des députés de la coalition d’extrême gauche Sumar.

Depuis le début de l’année, le Maroc a expulsé plusieurs citoyens espagnols des villes de Laâyoune et Dakhla, venus « s’informer sur la situation des droits de l’Homme au Sahara occidental ». La dernière expulsion depuis Dakhla a eu lieu le dimanche 2 mars.

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