L’ambassade du Maroc au Burkina Faso avait précédemment indiqué que les chauffeurs étaient sur une route risquée, connue pour abriter des cellules terroristes et des groupes armés se livrant au pillage et à des activités de banditisme ciblant les transports, surtout les camions. La représentation a souligné que traverser l’axe Dore-Tera sans escorte représentait un danger réel.
L’ambassade a également rappelé que les chauffeurs de transport international doivent consulter les autorités locales pour évaluer la situation dans la zone en amont du voyage, notamment pour les itinéraires passant par Seytenga.
Le 11 janvier, la ville a été secouée par une attaque brutale au cours de laquelle 18 soldats et plusieurs civils ont été tués dans une embuscade tendue par des groupes criminels.