Lors de l’examen en appel, la cour a pris en compte un rapport médico-légal qui a révélé que la victime avait été séduite puis déflorée, des éléments qui n’avaient pas été présentés lors du procès initial. En conséquence, la cour a jugé que ces circonstances justifiaient une peine plus sévère.
D’après l’association, la victime est une « mineure qui a subi une pression psychologique après que l’accusé lui ait promis le mariage, avant de rompre sa promesse après l’avoir déflorée, ce qui l’a poussée à tenter de se suicider ».