L’ordre de détention est intervenu après que le dénommé « Weld Chinwiya » a comparu devant le Procureur général avec sa mère, ses frères et sœurs, et « Bent Abbas », pour répondre à plusieurs chefs d’accusations : « insultes, violation de la vie privée d’autrui par la publication d’allégations en utilisant des systèmes d’information à des fins de diffamation, atteinte aux biens d’autrui, menaces, trouble à l’intérieur d’une installation de sécurité, et menace de commettre un crime ».
Ces derniers jours, des enregistrements audio attribués au sombre hère sont apparus sur les réseaux sociaux, indiquant sa potentielle implication dans une affaire de « traite des êtres humains ». Les autorités ont ouvert une enquête à ce sujet aussi, en attendant les résultats de l’examen technique en cours de ses appareils mobiles. En tout cas, les ONG n’ont pas attendu pour se manifester.