La résistance a indiqué, dans un communiqué, que « l’opération s’inscrit dans la poursuite de sa stratégie de résistance à l’occupation et de soutien à son peuple en Palestine, et en réponse aux massacres commis par l’entité usurpatrice contre des civils, notamment des enfants, des femmes et des personnes âgées », soulignant la « destruction continue des bastions ennemis à un rythme croissant ».
La Résistance islamique en Irak continue de mener des opérations au cours desquelles elle frappe des cibles appartenant à l’entité d’occupation israélienne dans les territoires palestiniens occupés. Mercredi, elle a annoncé avoir dirigé « une frappe plus tôt, à l’aide de drones, contre une cible vitale de l’occupation dans la ville palestinienne occupée d’Umm al-Rashrash, à Eilat ».
Entre-temps, la base américaine d’Aïn Al-Assad a subi, elle aussi, un assaut de drones. Un signal qui en dit long sur la volonté de la résistance irakienne à bouter les forces américaines hors du sol irakien. Le Pentagone ne l’entend pas de cette oreille-là. D’après les indiscrétions issues d’une récente rencontre de responsables irakiens et américains aux USA, ces derniers leur ont fait savoir qu’il n’est pas question, pour l’heure, d’envisager un quelconque désengagement de l’Irak, tant que les forces US resteraient en Syrie. Damas, rappelle-t-on, a de tout temps appelé les Américains à quitter leur territoire. Soutenu en cela par Moscou et Téhéran.