La justice marocaine le poursuit pour « atteinte à un agent public », « outrage à un corps constitué » et « diffusion d’informations émises dans un cadre privé ou confidentiel, sans le consentement de leurs auteurs ». Depuis son arrestation le 21 mars, l’activiste a été placé, sur ordre du parquet général, en détention provisoire.
Un sit-in de protestation a été organisé par des acteurs associatifs devant le siège du tribunal de première instance de Kénitra qui a statué sur le sort de l’activiste.