Ledit comité a rappelé, dans un communiqué, que les quatre pays font partie des 58 États parties à la Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille. De ce fait, « ils sont tenus de faire l’objet d’examens réguliers par le Comité de 14 experts internationaux indépendants sur la manière dont ils appliquent la Convention », poursuit le communiqué, qui rappelle avoir reçu les rapports des pays respectifs ainsi que les soumissions des institutions nationales des droits de l’Homme et des organisations non gouvernementales ».
Pour le cas du Maroc, le comité discutera d’une série de questions lors de dialogues publics avec la délégation marocaine mardi 28 mars, au tour de ce 2ème rapport périodique. C’est Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion économique, de la petite entreprise, de l’emploi et des compétences, qui présidera la délégation marocaine composée notamment de Omar Zniber, l’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU et des autres organisations internationales à Genève, et de Kamal Hachoumy, secrétaire général du ministère de l’inclusion économique. Les dialogues publics auront lieu au Palais Wilson, à Genève, conclut-on.
