L’Iran fera face à de graves conséquences s’il s’en prend aux Américains, a prévenu dimanche la Maison blanche, au lendemain de la décision de Téhéran d’imposer des sanctions à une cinquantaine d’Américains pour l’assassinat du général Qassem Soleimani.

Le secrétaire général du Hezbollah, a vivement critiqué, lundi 3 janvier, le pouvoir de Riyad. Dans un discours à l’occasion du 2ème anniversaire du martyre du chef de l’axe de la résistance et de la force Qods, le général Qassem Soleimani, du numéro deux du Hachd al-Chaabi et de leurs compagnons, il a soldé ses comptes avec la monarchie wahhabite qu’il assimile à un véritable vecteur du terrorisme au service de Washington.

Les personnes impliquées dans l’assassinat du chef de la force al-Qods du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) le général Qassem Soleimani, sont au nombre de 124, a déclaré Said Farhadi Nia, le juge d’instruction du Tribunal spécial pour les affaires internationales lors d’une rencontre organisée lundi pour exposer les dernières évolutions juridiques dans cet assassinat.