«Ma mission consiste à essayer de faciliter n’importe quelle voie. Premièrement, pour que les personnes touchées soient en fait dans un meilleur état. Et « B », pour que le problème réel soit résolu d’une manière juste et conforme aux résolutions de l’ONU. Et c’est là où réside la complexité du dossier qui dure depuis 47 ans», a souligné S. De Mistura.

Sur ces deux tournées dans la région, depuis sa prise de fonction le 1er novembre 2021, il a seulement levé le voile sur une discussion avec une femme sahraouie à Tindouf qui lui a demandé de trouver une solution au différend régional. «Nous étions des adolescentes et nous sommes maintenant des grands-mères. Nous avons besoin d’une solution qui offrirait un avenir pour nos propres enfants», raconte l’émissaire de l’ONU.

«Faciliter cela, n’est pas évident après 47 ans (…) Je suis sûr qu’il y a des formules et des moyens», affirme S. de Mistura.

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