Le chef de la diplomatie vénézuélienne répondait ainsi aux critiques de Tel Aviv à l’émission d’un mandat d’arrêt par les autorités vénézuéliennes contre Edmundo Gonzalez, candidat perdant aux élections présidentielles, soutenu par l’Occident. I. Gil a déclaré que « ceux qui commettent le plus grand génocide depuis la Seconde Guerre mondiale – les criminels de guerre, les tueurs d’enfants et de femmes et les criminels internationaux – soutiennent les criminels fascistes au Venezuela. »
Le même responsable a ajouté que « les Vénézuéliens savent que les sionistes soutiennent l’extrême droite vénézuélienne, la financent et l’entraînent aux pratiques violentes, et nous les vaincrons. Ils ne reviendront pas ». Avec fermeté, il a conclu que « le sionisme au Venezuela ne passera pas. Nous sommes humains et détestons sa haine et sa bassesse ».