Sur ces entre-faits, ordre a été donné à l’armée russe déployés non loin de Kiev d’observer un cessez-le-feu dans les villes qu’elle assiège depuis plusieurs jours. Un ordre qui intervient après une nuit marquée d’intenses tirs de missiles contre les dépôts d’armes et de munitions de l’armée ukrainienne.
Plutôt, le général de Igor Konashenkov, porte-parole du ministère russe de la Défense, a annoncé que « 308 drones, 1 713 chars et véhicules blindés, 170 lance-roquettes, 715 pièces d’artillerie et mortiers, en plus de 1 557 autres installations militaires ukrainiennes ont été détruits depuis le début de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine( le 24 février) ».
Le ministère russe de la Défense a déclaré, lundi 28 mars, que ses forces avaient ciblé 36 installations militaires ukrainiennes et abattu 5 avions de combat et 19 drones au cours des dernières 24 heures. « Quatre bombardiers ukrainiens Su-24 ont été abattus en l’air au-dessus de la province septentrionale de Tchernihiv, et un chasseur ukrainien Su-27 a été détruit près de Kramatorsk dans le Donbass », a indiqué le ministère russe dans un communiqué. Et d’ajouter que « les forces russes ont abattu cinq missiles ukrainiens tirés par des lanceurs Smertch près d’un aéroport de la province de Kherson ».
« Un groupe de forces russes a pénétré de deux kilomètres les défenses de la 95e brigade des forces armées ukrainiennes et a atteint la périphérie sud de la ville de Novosilovka à Donetsk », a-t-on indiqué de même source. Tout en soulignant que « des unités des forces de la République populaire de Lougansk ont avancé au cours de leur attaque d’une distance de cinq kilomètres. Elles ont pris le contrôle des villes d’Ivanovka et de Novosadovoy et ont atteint la ligne Terni à la frontière avec la République de Donetsk ».
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Sur ces entre-faits, ordre a été donné à l’armée russe déployés non loin de Kiev d’observer un cessez-le-feu dans les villes qu’elle assiège depuis plusieurs jours. Un ordre qui intervient après une nuit marquée d’intenses tirs de missiles contre les dépôts d’armes et de munitions de l’armée ukrainienne.
Plutôt, le général de Igor Konashenkov, porte-parole du ministère russe de la Défense, a annoncé que « 308 drones, 1 713 chars et véhicules blindés, 170 lance-roquettes, 715 pièces d’artillerie et mortiers, en plus de 1 557 autres installations militaires ukrainiennes ont été détruits depuis le début de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine( le 24 février) ».
Le ministère russe de la Défense a déclaré, lundi 28 mars, que ses forces avaient ciblé 36 installations militaires ukrainiennes et abattu 5 avions de combat et 19 drones au cours des dernières 24 heures. « Quatre bombardiers ukrainiens Su-24 ont été abattus en l’air au-dessus de la province septentrionale de Tchernihiv, et un chasseur ukrainien Su-27 a été détruit près de Kramatorsk dans le Donbass », a indiqué le ministère russe dans un communiqué. Et d’ajouter que « les forces russes ont abattu cinq missiles ukrainiens tirés par des lanceurs Smertch près d’un aéroport de la province de Kherson ».
« Un groupe de forces russes a pénétré de deux kilomètres les défenses de la 95e brigade des forces armées ukrainiennes et a atteint la périphérie sud de la ville de Novosilovka à Donetsk », a-t-on indiqué de même source. Tout en soulignant que « des unités des forces de la République populaire de Lougansk ont avancé au cours de leur attaque d’une distance de cinq kilomètres. Elles ont pris le contrôle des villes d’Ivanovka et de Novosadovoy et ont atteint la ligne Terni à la frontière avec la République de Donetsk ».
Le territoire séparatiste de Lougansk, dont Moscou a reconnu l’indépendance, pourrait bientôt organiser un référendum pour rejoindre la Russie, a déclaré le 26 mars Léonid Passetchnik, leader de cette République.«Je pense que dans un avenir proche, un référendum aura lieu sur le territoire de la république [autoproclamée de Lougansk], au cours duquel le peuple exercera son droit constitutionnel absolu et exprimera son opinion sur l’adhésion à la Fédération de Russie. Pour une raison quelconque, je suis sûr que c’est exactement comme cela que cela se passera», a assuré L. Passetchnik, cité par l’agence russe TASS.
La situation sur la ligne d’engagement dans le Donbass s’est aggravée le 17 février. A cette date, les républiques populaires de Donetsk et de Lougansk (RPD et RPL) ont fait état des bombardements les plus massifs effectués par l’armée ukrainienne au cours des derniers mois, qui ont endommagé les infrastructures civiles et fait des victimes civiles. Le 21 février, le président russe a signé un décret reconnaissant la souveraineté des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk. Des traités d’amitié, de coopération et d’assistance mutuelle ont ensuite été signés avec leurs dirigeants.
Les Républiques populaires autoproclamées de Donetsk et Lougansk, dont Moscou a reconnu l’indépendance, sont situées dans le bassin minier russophone du Donbass et échappent depuis 2014 au contrôle de Kiev. La guerre qui oppose depuis cette date les séparatistes aux autorités de Kiev a fait plus de 14 000 morts. Leur indépendance, proclamée à l’issue de référendums, n’est pas reconnue par la communauté internationale.
Le 21 février, Vladimir Poutine a reconnu leur indépendance et répondu à leur demande de mettre en place une «coopération en matière de défense». Ce fut un prélude à l’entrée, le 24 février, des troupes russes en Ukraine, au motif, selon le Kremlin de défendre ces territoires.
re séparatiste de Lougansk, dont Moscou a reconnu l’indépendance, pourrait bientôt organiser un référendum pour rejoindre la Russie, a déclaré le 26 mars Léonid Passetchnik, leader de cette République.«Je pense que dans un avenir proche, un référendum aura lieu sur le territoire de la république [autoproclamée de Lougansk], au cours duquel le peuple exercera son droit constitutionnel absolu et exprimera son opinion sur l’adhésion à la Fédération de Russie. Pour une raison quelconque, je suis sûr que c’est exactement comme cela que cela se passera», a assuré L. Passetchnik, cité par l’agence russe TASS.
La situation sur la ligne d’engagement dans le Donbass s’est aggravée le 17 février. A cette date, les républiques populaires de Donetsk et de Lougansk (RPD et RPL) ont fait état des bombardements les plus massifs effectués par l’armée ukrainienne au cours des derniers mois, qui ont endommagé les infrastructures civiles et fait des victimes civiles. Le 21 février, le président russe a signé un décret reconnaissant la souveraineté des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk. Des traités d’amitié, de coopération et d’assistance mutuelle ont ensuite été signés avec leurs dirigeants.
Les Républiques populaires autoproclamées de Donetsk et Lougansk, dont Moscou a reconnu l’indépendance, sont situées dans le bassin minier russophone du Donbass et échappent depuis 2014 au contrôle de Kiev. La guerre qui oppose depuis cette date les séparatistes aux autorités de Kiev a fait plus de 14 000 morts. Leur indépendance, proclamée à l’issue de référendums, n’est pas reconnue par la communauté internationale.
Le 21 février, Vladimir Poutine a reconnu leur indépendance et répondu à leur demande de mettre en place une «coopération en matière de défense». Ce fut un prélude à l’entrée, le 24 février, des troupes russes en Ukraine, au motif, selon le Kremlin de défendre ces territoires.