La même source ajoute que le défunt «est resté un conteur, prosateur et essayiste de grande classe, se distinguant par son propre style d’écriture et son langage distinctif d’expression, de narration et de formulation de paradoxes sociaux, qui ont donné à son expérience narrative et ses écrits en général une saveur charmante, avec ironie descriptive et critique créative».
L’UEM rappelle que cette distinction «découlait d’une accumulation exceptionnelle d’expériences professionnelles et personnelles» de feu D. El Khouri.
«Avec la disparition de l’écrivain D. El Khouri, le Maroc humanitaire, créatif et médiatique aura perdu une personne rare et exceptionnelle, un grand écrivain, un créateur élevé et engagé (…) et un de ceux qui ont servi la culture marocaine, le journalisme et la création littéraire, pendant des décennies à partir de l’écriture, de la créativité, de la fréquentation, de la lutte, du voyage, de l’aventure, de la joie de vivre, du débat, de la polémique et des sacrifices».
Né en 1939 dans la ville de Casablanca, D. El Khouri est l’un des noms qui ont marqué l’histoire de la littérature et du journalisme au Maroc, puisqu’il a travaillé comme journaliste au journal Al-Moharer, puis au journal de l’Union socialiste des forces populaires (USFP) jusqu’à sa retraite. Il a continué ses écrits journalistiques, dans plusieurs journaux nationaux et arabes.
En héritage, le défunt laisse derrière lui plusieurs œuvres littéraires comme Al-Bidayat (Débuts) (1980), Al-‘ayyam wa Allayali (Jours et nuits) (1982) et Madinat Atturab (1988).
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D. El Khouri tire sa révérence : Un écrivain s’en est allé…
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