«Si on veut me tuer, c’est à cause de mon engagement à protéger notre nation», a-t-il affirmé dans une intervention sur les chaînes publiques de télévision. «Parmi les cerveaux de l’assassinat figure un colonel français qui a commandé des régiments au Tchad, au Kosovo et en Afghanistan», a encore déclaré le président malgache. «Mais laissons la justice travailler, je n’ai pas de problème personnel dans mes relations avec la France», a ajouté A. Rajoelina. «Il faut attendre les résultats de l’enquête qui va révéler s’il s’agit d’un acte isolé ou non. C’est l’enquête qui va répondre à tout çà», a-t-il poursuivi.
Le chef de l’État malgache, élu en 2018, a fermement condamné ce projet présumé de coup d’Etat, soulignant que «la divergence de points de vue ne justifie pas un meurtre». A. Rejoalina s’est aussi interrogé sur le statut de «conseiller de l’archevêque d’Antananarivo» du cerveau présumé de cette affaire. «Sur le CV et les cartes de visite du cerveau de ce projet d’assassinat, il est écrit qu’il est conseillé de l’archevêque d’Antananarivo. Mais tout ce que je peux dire c’est que j’ai reçu une lettre du Vatican en signe de solidarité après ce projet d’assassinat», a assuré le président malgache.
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