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Lors de la présentation mardi à la Chambre des représentants de l’avis du CESE sur le projet de loi n° 03.23 modifiant le Code…
A cette occasion, le chef du gouvernement a souligné que cette rencontre de communication avec…
Cette réunion intervient également après que le roi a « procédé aux arbitrages nécessaires quant…
Le Club des magistrats du Maroc dont le bureau exécutif a tenu une réunion le…
Mohammed El Ghaloussi Président de l’association plaignante, a salué la décision de la Cour de…
Le CSPJ a mis en lumière les sanctions infligées à des juges impliqués dans des…
Dans un contexte où la lutte contre la corruption reste une priorité nationale, l’INPPLC lance…
Collectivités territoriales : Soupçons de « corruption généralisée », A. Laftit minore le phénomène.
En effet, nombre d’entre elles, visent les élus et les cadres des collectivités locales. S’appuyant…
La mise en œuvre du projet de loi sur les peines alternatives marque une « avancée significative » pour le système judiciaire marocain, annonce Abdellatif Ouahbi, le très controversé ministre de la Justice.
Après les alertes émises par l’Instance nationale de probité, de la prévention et de lutte contre la corruption (INPPLC) quant au peu de cas affiché par l’Exécutif à la mise en place de la stratégie nationale et la mise en avant du manque à gagner induit annuellement par la corruption, une affaire évaluée à 50 milliards de Dh, il faut croire que la sanction ne s’est pas faite attendre. Mohamed Bachir Rachdi qui tente de bien faire avec ce qu’il a sous la main, en invitant le chef du gouvernement à assumer ses responsabilités à l’égard de l’INPPLC, subirait-il les contre-coups de son franc-parler resté pourtant dans les clous ?
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