«La mission essentielle de la MINURSO est de signaler tout ce qui constitue une violation dans sa zone d’opération. Nous obtenons des détails lorsque cela se produit. S’il n’y a pas de violations dans sa propre zone d’opération, nous n’avons rien à partager à ce sujet», a répondu F. Haq à une question qui faisait écho aux affirmations du responsable algérien. «Bien sûr, le Secrétaire général fait régulièrement des rapports sur le travail effectué par la MINURSO, et puis vous obtenez… le Conseil de sécurité obtient l’information de cette façon», a-t-il ajouté.
Dimanche 30 janvier, A. Belani a estimé, dans un communiqué relayé par la presse algérienne dont l’APS, que «les autorités marocaines violent quotidiennement les accords militaires signés par les deux parties au conflit, et endossés par le Conseil de sécurité».
Pourtant, c’est le Polisario qui fait grand cas, Depuis le 13 novembre 2020, des bombardements quotidiens qui ciblent des positions des Forces armées royales déployées dans le Sahara marocain, sans que la question ne soit soulevée à l’ONU. Ni par le responsable algérien qui n’est soucieux du respect dudit cessez-le-feu que du seul côté marocain…

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