Depuis son départ du Maroc, en février 2024, M. Boudrika a été déchu de tous ses titres. En avril 2024, il a perdu son titre de membre du secrétariat de la Chambre des représentants. Le RNI avait alors présenté un autre candidat à sa place. Un mois plus tard, il a été destitué, sur une décision de justice, de la présidence du conseil municipal de Mers Sultan. Son parti lui a retiré aussi les commandes de la coordination du RNI de la préfecture Mers Sultan-El Fida à Casablanca.
L’été dernier, M. Boudrika a reçu deux autres coups : en juillet, il a perdu son siège à la Fédération royale marocaine de football (FRMF) et en septembre la présidence de la section football du Raja de Casablanca. Ce sont justement ces deux postes qui avaient conduit M. Boudrika vers le monde politique.
Définitivement banni dans le Royaume, M. Boudrika a été jeté dans un centre de rétention en Allemagne.