Selon les médias espagnols, l’enquête menée depuis 2015 en coopération avec le Maroc, a permis aux autorités espagnoles de confirmer l’implication du mis en cause dans le recrutement de jihadistes et leur envoi en Syrie, en plus de relations directes avec des individus appartenant à diverses cellules terroristes.

Fin 2019, la Commission générale des étrangers en Espagne a ouvert une procédure à l’encontre du concerné, sur la base d’un précédent rapport du Département d’information de la Garde civile, pour des activités constituant une menace pour la sécurité nationale.

En 2022, l’individu a bénéficié d’une remise en liberté conditionnelle, tout en restant sous étroite surveillance. L’Audience nationale espagnole a approuvé son expulsion à la mi-février.

Dans l’environnement du mis en cause, l’un des proches est également concerné par des faits de terrorisme. Son beau-frère a rejoint les rangs de Daech en Syrie, où il a été tué au combat.

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