La diplomatie algérienne avait déjà condamné la reconnaissance par Israël de la souveraineté du Maroc sur le Sahara. « Cet acte, qui émane d’une autorité d’occupation au registre noir en matière de violation de la législation et de la légalité internationales, constitue une autre étape dans la série de manœuvres et de la politique de fuite en avant adoptée par l’occupant marocain », a souligné un communiqué du ministère dirigé par Ahmed Attaf.

Fait notable lors de cette conférence de presse, le président algérien ne s’est pas étalé sur le différend du Sahara, comme de tradition. Son attention était plus focalisée sur les conséquences du putsch au Niger. La destitution du président Mohamed Bazoum par les militaires préoccupe, en effet, le système algérien au regard de ses probables implications tribales, mais aussi et surtout des impératifs dictés par la proximité géographique…

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