La pierre d’achoppement entre Les deux principales forces politiques n’arrivent pas à s’entendre sur les perspectives politiques ouvertes à la Libye depuis que le maréchal autoproclamé Khalifa Haftar affiche, résolument, son intention de se lancer dans la course à la présidence de la Libye, en décidant depuis le 22 septembre, de tourner le dos, provisoirement,à ses fonctions militaires.
Le Haut Conseil d’Etat (proche de la Turquie et des Frères musulmans) rejette catégoriquement toute candidature de K. Haftar. Chaque prétendant à la magistrature suprême devrait avoir démissionné de son poste deux années auparavant. En face, le Parlement de Tobrouk n’a émis aucune condition pour les candidats.
Le dialogue renoué à Rabat entre les acteurs libyens a connu la participation de Richard Norland, envoyé spécial et ambassadeur des Etats-Unis pour la Libye. Le diplomate US a soulignélors de la séance d’ouverture du 30 septembre, qu’«il est impératif que la campagne électorale commence tout de suite, dans une ou deux semaines». Il a également exhorté les acteurs libyens à mettre en place «une base légale et constitutionnelle» pour l’organisation du scrutin du 24 décembre.

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