Le drame aurait été favorisé par la combustion d’huile industrielle utilisée pour le fonctionnement des machines au sein de l’usine, après un retard dans son remplacement. Une fumée épaisse s’est ensuite dégagée, entraînant des cas d’asphyxie et d’évanouissement parmi les ouvrières.
Yassine Hafiani, directeur de l’hôpital provincial El Idrissi, a confirmé que l’établissement avait reçu 145 cas, qui ont reçu les traitements nécessaires et ont quitté le centre en bonne santé.
Si le pire a été évité, il n’en reste pas moins qu’une enquête en bonne et due forme doit être menée pour éviter que cela ne se reproduise dans cette unité industrielle, mais aussi dans d’autres…