Présidée par le Chef du gouvernement, cette réunion inaugurale a permis de valider le plan d’action 2025, le budget prévisionnel, l’organigramme de l’agence et le statut de son personnel. Wafaa Jemali qui a été propulsée par Aziz Akhannouch directrice générale de l’institution, a présenté les priorités pour assurer le lancement opérationnel de l’agence.
Engagée dans une gestion équitable et transparente, soutient-on, l’ANSS s’appuie sur des garanties d’indépendance, avec la nomination de trois administrateurs indépendants, en plus des représentants des principaux ministères concernés (Intérieur, Santé, Éducation, Emploi, Solidarité) et du Haut-Commissariat au Plan.
La communication entourant la nouvelle institution ajoute que le Conseil d’administration symbolise un consensus autour du rôle stratégique de l’Agence, visant à instaurer un modèle de protection économique et de prospérité sociale. L’objectif : garantir une distribution efficace des aides aux populations les plus vulnérables, tout en assurant une gouvernance exemplaire. Pour l’heure, l’Intérieur qui a été placé au centre de la mise en place du fameux RSU, n’ignore certainement pas les « couacs » déjà rencontrés. Une partie de la population vulnérable ciblée ayant été écartée des aides dont la distribution se fait en fonction de critères pour le moins abscons.