Ladj Ly, réalisateur français, Maryam Touzani, réalisatrice, et Latifa Ahrrare, artiste et metteuse en scène, ont été saluées durant la cérémonie qui s’est poursuivie avec la projection de Zazouj, film de la réalisatrice Rabia Chajid, présenté dans le cadre de la section Panorama.
Le festival met l’accent sur les jeunes talents, en particulier africains. Charaf Eddine Zine El Abidine, président du festival, a précisé que Dakhla consolide sa place sur l’échiquier du cinéma international, en mettant en avant la création africaine émergente. Il a salué un espace d’échange unique entre cinéastes du monde entier, qui combine projections de courts et longs métrages, mais aussi ateliers spécialisés.
Abdelaziz El Bouzdaini, directeur par intérim du Centre cinématographique marocain (CCM), a salué un « rendez-vous structurant » pour le cinéma national. Il a également mis en lumière l’inauguration, en février dernier, de l’antenne de l’Institut supérieur des métiers de l’audiovisuel et du cinéma (ISMAC) à Dakhla. Une étape qu’il qualifie de « tournant majeur dans la dynamique de formation professionnelle au sein des provinces du Sud ». A. El Bouzdaini, a salué un « rendez-vous structurant » pour le cinéma marocain, en lien avec la récente ouverture de l’antenne de l’ISMAC à Dakhla. Cette école « constitue un tournant majeur dans la formation professionnelle au Sud du Royaume », a-t-il affirmé.