Rabat comme Alger ont déjà présenté, respectivement le 3 août et le 31 juillet, leurs candidatures auprès du représentant de la RASD, Lamine Baali, qui exerce les fonctions de doyen du groupement régional, qui se chargera ensuite de les transmettre aux organes de l’UA, se félicitent des médias séparatistes.   D’autres membres du groupement nord-africain, qui comptent aussi la Mauritanie, la Tunisie, l’Egypte, la Libye et la RASD, pourraient s’inviter dans la course.

Pour rappel, le Maroc et l’Algérie avaient manifesté en 2023 leurs ambitions de faire main basse sur la présidence de l’organisation panafricaine pour l’année 2024. Les deux pays avaient fini par reculer en cédant le poste honorifique à Ould El Ghazouani, président de la Mauritanie.

Pour l’heure, ce qui est sûr, c’est que le pilotage de la présidence de la Commission de l’Union africaine reviendra de droit au Kenya.

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