“Cette évolution s’explique par une activité réduite, liée aux contraintes d’approvisionnement en sardines. En parallèle, la filière des semi-conserves poursuit sa dynamique positive, avec une progression des volumes traités et une commercialisation active vers de nouvelles destinations”, indique le groupe.

Le T1-2025 a été marqué par une activité modérée, en raison de la baisse des captures de sardines dans le cadre d’un arrêt biologique prolongé par rapport à l’année précédente, ainsi qu’une pression persistante sur les coûts d’approvisionnement, souligne la même source, citant les statistiques de l’Office National des Pêches (ONP) qui font état d’un repli de 54% des débarquements de sardines au cours de ce 1er trimestre 2025.

Unimer rappelle aussi que l’activité du 1er trimestre ne constitue pas un indicateur significatif des tendances annuelles. Une reprise progressive des débarquements de sardines est attendue d’ici la fin du semestre, ce qui permettrait de soutenir le redémarrage de l’activité pêche et de rattraper les reports de ventes pour faire face à la demande.

Concernant l’endettement net consolidé au 31 mars 2025, il s’est établi à 780 MDH, en baisse de 10% comparativement à la même période un an auparavant. Cette réduction de l’endettement traduit l’engagement constant du groupe à optimiser sa gestion financière, en mettant l’accent sur la maîtrise des coûts et la rationalisation des charges. Les investissements consolidés d’Unimer se maintiennent, quant à eux, à un niveau stable (10,2 MDH). Ces engagements sont principalement dédiés au renforcement des capacités industrielles et à la poursuite des efforts de modernisation des outils de production.

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