«Je crois qu’en ce moment, nous devons, en premier lieu, adresser un message de confiance à la présidente du Parlement (européen) et au porte-parole du groupe des socialistes au Parlement européen, Iratxe García, et accordons également notre confiance à la justice belge (…) Nous parlons d’un cas d’une extrême gravité et, évidemment, nous devons d’abord disposer de toutes les données pour pouvoir décider des actions à prendre ensuite», a-t-il souligné.

La position de P. Sanchez sur ce dossier est identique à celle adoptée par son cabinet lors de l’affaire d’espionnage des téléphones de membres de l’exécutif espagnol par le biais du logiciel israélien Pegasus. Devant la Commission d’enquête du Parlement européen, les représentants de Madrid ont refusé d’accuser le Maroc au sujet des opérations de piratages des téléphones de P. Sanchez et de Margarita Robles, ministre espagnole de la Défense.

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