Dévoilé mardi, ce rapport, qui fait plus de 1.300 pages et a demandé six mois de travail au comité contrôlé par l’opposition, allègue également que 77 autres personnes et deux entreprises ont commis des crimes.
Le rapport, remis la semaine dernière, demandait l’inculpation du chef de l’Etat pour génocide et homicide volontaire, mais les sénateurs ont décidé d’abandonner ces charges pour des raisons techniques. Ils ont aussi ajouté 10 personnes à la liste des individus devant être mis en examen.
Le service de presse du président brésilien n’a pas immédiatement commenté ces développements. Il est peu probable que J. Bolsonaro fasse l’objet d’accusations formelles, qui devraient être portées par le procureur général du Brésil, nommé par le président.

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