Fidèle parmi les fidèles de N. Baraka, lui qui a présidé la commission préparatoire du 18e congrès, A. Rachdi vient d’être récompensé. Une consécration qui s’est faite au détriment du clan sahraoui, mené par Hamdi Ould Errachid, maire de Laâyoune. Rahal Mekkaoui, conseiller parlementaire choisi comme cheval  de bataille a trébuché sur le premier obstacle, échouant à présenter officiellement sa candidature face au candidat porté par N. Baraka.

Cette nouvelle donne pousse de nombreux observateurs à considérer que le clan sahraoui, qui a largement contribué en 2017 à l’élection de N. Baraka au poste de secrétaire général de l’Istiqlal face à Hamid Chabat, a perdu de sa superbe. Une chute facilitée par une guéguerre entre ténors istiqlaiens au Sahara. Le tribalisme engendre de la sorte ses méfaits.

N. Baraka a réussi, avant la présidence du conseil national, à placer Allal Amraoui aux commandes du groupe des députés de l’Istilqlal. Comme il a désigné Mustapha Hanine au poste d’inspecteur général du PI et placé Abdelmajid El Fassi, son beau-frère et le fils d’Abbas El Fassi, ancien chef du gouvernement, deuxième vice-président de la Chambre des représentants.

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