Des sources gouvernementales espagnoles ont tenu à qualifier de « simple spéculation » toute tentative de placer un pays tiers – en particulier le Maroc, selon les membres de la commission du Parlement européen – derrière l’espionnage avec le système Pegasus, rapporte EFE.

Les sources se sont interrogées sur la base de ces accusations, faisant référence aux enquêtes menées par l’Audiencia Nacional à la suite d’une plainte du ministère public. Quant aux reproches de manque de collaboration du gouvernement par les députés, les sources rappellent que les membres de la commission qui s’est rendue en Espagne lundi et mardi avaient été informés de l’agenda des membres de l’exécutif, notamment de la tenue au Congrès du débat sur la motion de censure.

Les membres de la délégation se sont plaints de ne pas avoir pu rencontrer les ministres, notamment Félix Bolaños, chef de la présidence, mais ils ont finalement rencontré Pascual Navarro, secrétaire d’État aux affaires européennes.

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