«C’est un sujet sérieux. Le rapport indépendant ne vaut pas jugement et le comité d’éthique du FMI et plus généralement son conseil d’administration doivent donc étudier ce rapport, entendre la directrice générale et présenter ses conclusions. C’est sur cette base que la France pourra alors évaluer pleinement la situation», indique la source.
Selon cette enquête indépendante publiée jeudi, les dirigeants de la Banque mondiale, dont sa directrice générale de l’époque, ont exercé des «pressions excessives» sur le personnel pour améliorer le classement de la Chine dans le rapport «Doing Business 2018» de l’institution.
Ce rapport, établi par le cabinet d’avocats WilmerHale à la demande du comité d’éthique de la banque, suscite des interrogations sur l’influence de la Chine à l’égard de la Banque mondiale et de ses anciens dirigeants.
Kristalina Georgieva a dit être en désaccord «fondamental» avec les conclusions et les interprétations du rapport et en avoir informé le conseil d’administration du FMI.

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