L’ONG s’est déclarée surprise de cette décision « sans précédent » et confirmé avoir « travaillé pendant 20 ans avec des ONG marocaines sur diverses questions, telles que la migration respectueuse des droits humains, les violences contre les femmes et la prévention contre les discours de haine ». Elle a expliqué que l’objectif de la réunion était de discuter « des effets des politiques et des accords migratoires sur la gestion des migrations, qui coûtent des milliers de vies chaque année ».

L’organisation a demandé à José Manuel Albares, ministre espagnol des Affaires étrangères, d’intervenir et de demander au Maroc des éclaircissements sur cette interdiction. Elle a estimé que cette mesure dénotait un « manque de démocratie dans le pays voisin » et a demandé au ministère espagnol de considérer cette situation comme « un élément supplémentaire de non-respect des droits humains, dans un pays avec lequel de nombreux accords ont été signés », notamment en matière de migration.

Leave A Reply

Exit mobile version