Tunisie
Le jugement a été prononcé sans un réel procès : il n’y a eu que trois audiences, toutes musclées. Les avocats de la défense –…
Une enquête a été lancée en Tunisie sur quatre membres du parti islamiste Ennahdha pour des violences devant le Parlement après que le président a congédié le gouvernement et gelé les activités législatives. Des élus islamistes sont aussi poursuivis, ce qui a été dénoncé par la formation d’Ennahda qui joue une double partition. En effet, son leader contesté Rached Ghannouchi s’est déclaré disposé à dialoguer avec le Président pour « restaurer » la démocratie. En cas de panne de dialogue, il menace de faire descendre dans la rue ses partisans.
L’hôpital de campagne marocain installé à Manouba, l’un des quatre gouvernorats formant le Grand-Tunis, est opérationnel et prêt à accueillir les patients atteints de la Covid-19.
La justice tunisienne a ouvert une enquête contre le parti islamiste Ennahdha, son allié Qalb Tounes et la formation Aïch Tounsi. Objectif, démonter l’affaire de « financements étrangers »des campagnes électorales en 2019. Le collectif de défense de Choukri Belaïd et Mohamed Brahmi, leaders de gauche assassinés dans le sillage de la Révolution du Jasmin, applaudit l’offensive du Président Kais Saïed qui cherche aussi à trouver un arrangement avec ceux qui ont détourné les deniers publics.
Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, a été reçu mardi après-midi 27 juillet 2021 au Palais de Carthage, par le président de la République tunisienne, Kaïs Saïed, a annoncé la présidence tunisienne.
La crise politico-institutionnelle prend une autre dimension en Tunisie. En effet, le président tunisien Kais Saied a mis fin, lundi, aux fonctions du ministre de la Défense, après avoir suspendu les activités du Parlement et limogé le Premier ministre.
Pour une bombe politico-institutionnelle qui a éclaté depuis le palais de Carthage, en Tunisie, c’en est bien une. Kaïs Saïed élu Président depuis quelques mois a annoncé, dans la foulée de manifestations populaires dans plusieurs villes tunisiennes, de geler les activités du Parlement et de se séparer de Hichem Mechichi, chef de gouvernement avec lequel les rapports entretenus étaient des plus tendus. L’armée déployée au niveau des divers points névralgiques de la capitale a été applaudie par la foule à Tunis. Cherchant à intégrer le Bardo, le président du parlement et chef de file des islamistes d’Ennahda, Rached Ghannouchi, en a été empêché par l’armée, lui qui, la veille, dénonça un « coup de force anticonstitutionnel ».
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